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Le prof d’anglais

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          En septembre dernier j’ai fait ma deuxième rentrée en tant que prof. Et ma nouvelle affectation en banlieue parisienne me faisait super plaisir. J’étais plus près de mon domicile d’une part et en plus des élèves de premières et de terminales, j’avais hérité d’une classe de BTS qui allait me permettre de donner un côté plus « professionnel » à mes cours.

          Enfin d’un côté plus terre-à-terre, et en toute honnêteté, c’était aussi pour pouvoir mater des élèves MAJEURS, sans avoir à culpabiliser le soir, lorsqu’en pensant à l’un d’entre eux je me branle sous ma douche. Je me souviens de ma première année. Ca avait été méga frustrant ! J’avais flashé sur un Laurent, un gars en terminale qui avait un corps de rugbyman et une belle gueule lisse, carrée, avec de grands yeux noirs. Et le pti con était tout le temps habillé de jeans bien moulants avec des t-shirts qui épousaient sensuellement ses pectoraux puissants. Du coup, puisque je ne pouvais pas toucher, j’usais de tous les moyens légaux et honnêtes pour le retenir, allant jusqu’à lui donner des cours privés, pour rien ! Il en jouait le gars. Il savait l’effet qu’il avait sur les filles et dès que le temps le permettait, on le voyait sur l’herbe de la cours, torse nu, exhibant un corps parfait, musclé à souhait. Faut dire que le bellâtre était un sportif reconnu, champion de surf, à la peau bronzée, avec une voix cassée, sexy. Le voir, sentir son parfum, faisait réagir mon corps aussitôt : ma queue se mettait à durcir et le seul moyen de me calmer, était d’aller me branler dans les toilettes, choisissant toujours celles du bâtiment D, qui était souvent déserté.

          Mais cette année les choses étaient différentes. Mes élèves de BTS étaient majeurs eux et je n’avais pas été déçu.

        Le premier jour, à la première heure, j’ai rencontré ma classe de BTS. Je devais leur donner des cours d’anglais commercial et déjà pour moi, c’était le pied ! J’aimais bien les textes qu’on faisait dans le cadre du cursus lycéen normal mais le côté plus réaliste, plus prosaïque de l’anglais business me manquait cruellement ! Alors là, pouvoir faire de tout, dans une même journée, me plaisait énormément. Mais surtout, ce premier jour, à cette première heure, j’ai vu débarquer au deuxième rang, première table, Samuel. 20 ans, 1m80, 80 kg, un corps de rêve, des yeux verts magnifiques, une gueule d’Apollon, un sourire de Don Juan… Et moi, une belle trique lorsque j’ai découvert son pti cul bien rebondi dans son pantacourt en jeans.

     Pendant toute l’heure j’ai du rester assis derrière mon bureau histoire de dissimuler les 20cm tendus de mon anatomie ! Impossible de penser à autre chose qu’à ce cul que je me voyais bouffer avant de plonger mon dard dedans. J’imaginais les râles que mes assauts allaient arracher à Samuel et mon membre se tendait encore plus. Je le voyais nu, découvrais son corps avec ma langue et mes mains et chaque courbe, chaque muscle de son être se gravait dans ma mémoire.

          Un peu plus tard dans la journée, au détour d’un couloir je surpris une conversation entre lui et plusieurs élèves de sa classe. Je m’étais mis en embuscade et écoutais discrètement, caché par un poteau

 

_ Et le prof d’anglais ? Il est trop trop beau !

_ C’est clair ! Et t’as vu ses bras ? Je suis sûre que tout le reste est musclé pareil !!!

_ Je vous le dis les filles, c’est quand il veut, où il veut !!! Il est juste craquant ce mec !

_ Mais arrête Samuel, c’est un prof !

 

          Et là, un collègue est arrivé. Il s’est mis à me parler, de sa voix tonitruante, me démasquant et créant un bel effroi dans le petit groupe. Ils s’étaient alors tous tu et quand je les ai regardé, j’ai bien vu combien ils étaient mal à l’aise, se doutant que de là où j’étais, je n’avais rien raté de leurs petite conversation. Ils nous ont ensuite salué timidement et se sont dispersés, visiblement très inquiets des répercussions que pouvaient avoir leurs propos.

        Après une journée plutôt remplie, avec de savoureux rebondissement, j’avais gagné le parking pour y récupérer ma voiture et me rentrer à la maison, histoire de tout revivre, la queue à la main et l’esprit avec le beau Samuel. J’ouvrais ma portière quand derrière moi une voix m’interpella :

 

_ Monsieur Grondin !

 

         Je me retournai et découvrait Samuel, dans son débardeur blanc, qui dévoilait ses épaules larges, ses bras musclés et moulait ses pectoraux bombés. Il avait la voix un peu tremblante et l’expression de son visage exposait tout son embarras.

 

_ Oui monsieur Huet !, lui répondis-je avec mon plus beau sourire

_ Je peux vous parler quelques minutes ?

_ Bien-sûr ! Montez !

 

          Il fit le tour et on s’enferma dans la voiture. J’ouvris les carreaux.

 

_ Je voulais vous présenter nos excuses pour ce matin ! Mes copines et moi on ne voulait pas vous manquer de respect ! On ne pensait pas à mal !

 

          Je me suis mis à rigoler, histoire d’appuyer un peu plus sur ce que j’allais dire :

 

_ C’est ça qui vous angoisse ?

 

          Il était complètement désarçonné !

 

_ Y a pas de quoi vous mettre dans des états pareils ! Et puis c’était plutôt flatteur pour moi !

_ Vous n’êtes pas fâché ? Enfin j’ai dit des choses…

_ Arrêtez ! Ce que vous avez dit, je pourrai le dire en parlant de vous aussi !

 

          Voilà, j’avais fait le deuxième pas…

 

_ Ah ! C’est intéressant !

 

          Je me suis ensuite penché vers lui et je l’ai embrassé goulument, glissant ma main entre ses cuisses baraquées qu’il avait écarté pour me faciliter l’accès jusqu’à ca braguette bosselée.

 

_ On va chez moi ?

_ Avec plaisir !

 

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